Conclusion


     Nous vous avons présenté les Fourmis, en les détaillant et en comparant le roman de Bernard Werber et la réalité. Quelques informations du roman sont cependant exactes tandis que la plupart sont erronées, comme l'utilisation des moucherons comme messagers. Les Fourmis sont en réalité beaucoup plus complexes que le décrit l'oeuvre. Chacune est comme un rouage permettant le fonctionnement de la fourmilière et de la société, ayant leur propre rôle et leurs propres spécificités.
     La différence que l'on trouve entre la fiction et la réalité est due à l'humanisation et l'anthropomorphisme qu'accorde l'auteur aux Fourmis. Il les rend humaine pour accentuer le plaisir de lire et d'imaginer, faussant quelques données. Malgré cela, Bernard Werber a été journaliste scientifique durant sept ans et il essaye de se baser au maximum sur des faits réels.
     Cependant, ce roman de science-fiction nous fait réfléchir sur notre façon de penser. Les Fourmis expriment plus d’intérêt envers leurs semblables alors que l'Homme semble faire preuve de désintérêt envers les siens. Le roman est aussi une source de culture. On y apprend les croyances de différents peuples et religions, ainsi les Polynésiens pensent que les Fourmis sont de "minuscules divinités", ou encore dans le bouddhisme tibétain elles symbolisent le "dérisoire de l'activité matérialiste".
Bernard Werber a su entretenir le suspens jusqu'à la fin et nous propose également une énigme, clé de tout le mystère de l'intrigue : "Comment faire quatre triangles identiques avec six allumettes ?"
Il est sûr que nous ne regardons plus les fourmis comme avant.
Attention, vous ne pouvez pas regarder où vous mettez les pieds?
TPE présenté par :
Alexis VAUCLIN, Nicolas GOMBERT et Julien CHEILLAN

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire